Pour les vacances d’été 2023, voici cette énorme amende qui vous attend si vous avez une piscine gonflable !
Piscine non autorisée dans CE département.
À l’approche de la saison estivale, les piscines gonflables occupent une place spéciale dans le cœur des Français, non seulement en raison de leur praticité pour se rafraîchir lors des journées chaudes à venir, mais aussi parce qu’elles offrent la possibilité de profiter du soleil sans quitter le confort de son foyer.
Elles sont appréciées pour leur facilité d’installation et leur adaptabilité offrant à chacun la possibilité de créer un espace de détente personnalisé, que ce soit dans un jardin ou même sur la véranda de sa maison.
Si vous aviez hâte de vous rafraîchir dans votre piscine gonflable cet été, sachez que certaines régions ont mis en place des interdictions. Vérifiez si votre département est concerné pour savoir si vous pouvez profiter de votre piscine gonflable en toute tranquillité (ou pas) !
Ceux qui résident dans le département des Pyrénées-Orientales, qui a récemment été placé en niveau de crise, interdit désormais la vente de piscines hors-sol, y compris les piscines gonflables pour enfants.
Si aucun autre département n’ait suivi cette mesure pour le moment, il est toujours possible que les zones soumises à un niveau inférieur « d’alerte sécheresse« puissent également faire face à des restrictions.
Cet arrêté préfectoral s’applique jusqu’au 13 juin 2023, date prévue pour un nouveau point d’étape.
Vacances d’été 2023: cette énorme amende qui vous attend si vous avez une piscine gonflable !
Des sanctions seront attribuées à ceux qui enfreignent les règles établies. L’Office national de l’eau et des milieux aquatiques ainsi que les Directions départementales des Territoires se chargeront d’effectuer des contrôles aléatoires et ponctuels pour garantir le respect de ces mesures.
Ils vérifieront notamment que les supermarchés ne vendent pas ces équipements d’ici le 13 juin prochain. Les contrevenants encourent une amende de 1 500 euros, qui peut atteindre jusqu’à 3 000 euros en cas de récidive.