Une aide de 250 euros est disponible pour certains Français. Les bénéficiaires peuvent toucher cette aide pour partir en vacances. Découvrez dans quelques lignes ci-dessous toutes les informations utiles concernant ce dispositif.
Une aide de 250 euros pour les vacances
Avec le contexte actuel, il serait difficile pour certains Français de partir en vacances. De surcroît que partir au soleil et à la plage nécessite un gros budget. Dans ce sens, plusieurs foyers préfèrent s’abstenir et se focalise pour les dépenses du quotidien qu’il arrive tant bien que mal à subvenir.
C’est à ce moment-là que le gouvernement entre en jeu. En effet, il est possible de partir en vacances à moindre coût. En effet, le dispositif est surtout le projet phare de l’Agence nationale des chèques vacances (ANCV). Les bénéficiaires pourront toucher une aide de 250 euros pour financer leurs vacances d’été.
Ils ont de nombreux choix de destination. Soit à la mer, en montagne ou encore en ville. Cependant, le dispositif Départ 18 : 25 permet également de séjourner dans toute l’Europe et encore de nombreux pays. À titre informatif, l’aide peut couvrir 80 % du coût total des séjours.
Les conditions pour être éligibles à ce programme Départ 18 : 25
Pour toucher cette aide de 250 euros, il y a quelques conditions à respecter. Ainsi, comme nous l’avons mentionné ci-dessous, ce coup de pouce permet de financer les vacances. Pour y avoir droit, c’est prévisible. Il faut avoir entre 18 et 25 ans. Puis, les bénéficiaires doivent résider en France, c’est important.
Cette aide vacances est également soumise à une condition de ressources. Il est essentiel de disposer d’un revenu fiscal de référence inférieur à 17 280 euros. Par ailleurs, les titulaires d’un contrat d’apprentissage peuvent également y avoir droit. Toutefois, une précision s’impose. Il est nécessaire que ce contrat soit en cours ou échu depuis au moins 3 mois.
Cette aide de 250 euros est également destinée aux bénéficiaires d’une bourse sur critères sociaux, d’un emploi d’avenir, d’un contrat de génération, ou d’un parcours contextualité d’accompagnement vers l’emploi et l’autonomie. Les titulaires d’un contrat d’engagement jeune (CEJ), les élèves d’une école de la deuxième chance, bénéficiaires de l’aide sociale à l’enfance ou les volontaires en service civique font partie des bénéficiaires.