L’accès au RSA (revenu de solidarité active) répond à plusieurs critères dont celui du plafond d’épargne maximum. Mais à combien s’élève-t-il ? On vous dit tout dans les prochaines lignes !
Chaque mois, la Caisse d’allocations familiales délivre le revenu de solidarité active aux Français vivant dans des conditions précaires. Mais quelles sont les conditions d’éligibilité à cette prime ? Le point à travers cet article !
Voici les recettes prises en considération lors de l’estimation du RSA !
Le montant du RSA est estimé suivant la situation familiale et le niveau de revenus du foyer demandeur. Pour ceux qui vivent en couple, c’est le revenu commun qui sera pris en considération dans le calcul. Parmi ces sources de revenus figurent le salaire, les heures supp, les primes de licenciement, les revenus issus d’activité non salariée ou de bénévolat, les pensions de retraite…
Les bénéficiaires sont également tenus à déclarer les capitaux placés. Il faut savoir que les biens non productifs doivent être inclus dans le calcul comme générant un revenu équivaut à 3% du montant annuel. Ce taux ne s’applique cependant pas sur les livrets réglementaires à l’instar du livret A. C’est pourquoi il est conseillé de procéder à une déclaration annuelle des intérêts touchés.
La somme maximale à épargner varie d’une région à une autre !
En ce qui concerne le plafond d’épargne du RSA, la valeur va varier suivant les régions dans lesquelles les bénéficiaires habitent. Dans le cas de l’Orne par exemple, ce seuil maximal est fixé à 15 000 euros. Dans d’autres régions comme la Manche et les Pyrénées-Orientales, les épargnants célibataires peuvent investir plus d’argent car le plafond est fixé à 23 000 euros. Dans l’Hérault, les dépots peuvent monter jusqu’à 50 000 euros. Ainsi, si vous habitez dans l’un de ces départements et que vous souhaitez investir plus d’argent, vous ne pourriez pas profiter du revenu de solidarité active.