Dans le cadre de la mise en place du plan de sobriété énergétique, l’Etat prévoit de nouvelles dispositions. Quelles sont-elles ? On vous dit tout !
Cette semaine, la ministre de la Transition énergétique a présenté les grandes lignes du plan de sobriété énergétique initié par le gouvernement d’Emmanuel Macron. Voici les différents changements auxquels les Français doivent désormais s’attendre !
Sècheresse : le manque d’eau se fait ressentir en France
Le 30 mars dernier, le chef d’Etat a fait le déplacement dans les Hautes-Alpes pour introduire son projet lié au “plan eau”. A la suite de la sècheresse qui a frappé le pays, les stocks en eau potable sont en effet très faibles. A ce propos, Info Sècheresse a fait part d’un niveau critique des nappes phréatiques de plusieurs régions de France au cours du mois de mars. Lundi dernier, 29 départements ont été placé en alerte rouge. Pour les autres communues, les intempéries du mois de mars dernier ont permis de remédier à la situation.
Une chance qui n’a cependant pas été donnée à tout le monde ! Le mois dernier, le ministre de la transition écologique avait vu les préfets pour leur faire part de plusieurs restrictions concernant l’utilisation de l’eau dans six départements. C’est notamment le cas de l’Ain et des Pyrénées-Orientales. Le membre du gouvernement a ensuite indiqué une éventuelle généralisation de ces dispositions.
Ce que prévoit le plan de sobriété énergétique
Pour éviter une pénurie d’eau dans les années à venir, l’exécutif a décidé de prendre les dispositions nécessaires. Parmi elles figurent le projet “Ecowatt de l’eau” et une autre mesure visant à réaliser des économies pouvant aller jusqu’à 10% d’ici 2030. Dernièrement, Agnès Pannier-Runacher a présenter les grandes lignes du plan de sobriété énergétique.
Dans sa prise de parole, elle insiste sur le fait de limiter de 40% les dépenses en énergie d’ici 2050 tout en exécutant les “objectifs climatiques” prévus par le gouvernement. Pour ce faire, l’Etat entend diminuer la vitesse à 110km/h au maximum sur les autoroutes et promouvoir le covoiturage en France. Enfin, dans les bureaux, la climatisation ne sera plus autorisée lorsqu’il fait moins de 26 degrés.