Actuellement, une mauvaise nouvelle concernant Intermarché suscite l’inquiétude de tous les Français. En effet, Thierry Cotillard, dirigeant de l’entreprise, a confirmé l’absence du tant espéré « septembre vert ». Le mois de septembre, traditionnellement synonyme de rentrée paisible, s’annonce sous un sombre nuage.
Mauvaise nouvelle concernant Intermarché, pas de « septembre vert » pour 2023
L’annonce d’Intermarché résonne comme une sonnette d’alarme pour tous les Français. Cette nouvelle survient à une période où de plus en plus de Français font face à l’inflation galopante. En effet, Thierry Cotillard a affirmé qu’il n’y aurait pas de « septembre vert ». Le patron d’Intermarché ajoute que les coûts ne connaîtront pas de répit avant le printemps 2024. Cette information s’imprime ainsi à l’anxiété économique ambiante.
D’un autre côté, Dominique Schelcher, directeur de Système U, partage cette vision en déclarant que mars prochain sera le moment décisif. Cependant, il prend la responsabilité de maintenir les valeurs stables dans l’intervalle, particulièrement sur les grandes marques. Michel-Edouard Leclerc, le président des magasins E.Leclerc est du même avis. Selon ses propos, la hausse des prix alimentaires dans les hypermarchés a déjà atteint une moyenne 12 % en 2022. Les enseignes telles qu’E.Leclerc, Hyper U et Lidl cherchent à protéger leurs clients en gardant leurs marges malgré la pression inflationniste.
Les mesures à prendre face à l’Inflation incessante
Par rapport à l’inflation qui touche la France, le patron d’Intermarché, préconise la patience jusqu’au printemps 2024. En effet, il est recommandé de fréquenter des enseignes accessibles comme Intermarché, Lidl, Leclerc ou Aldi. Cette méthode peut minimiser l’impact des hausses de prix. D’ailleurs, il faut profiter des jours de promotions au maximum, comme les mercredis, pour réaliser des réserves. Thierry Cotillard et Michel-Edouard Leclerc appellent à une action rapide pour le bien-être des Français. De ce fait, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a convoqué les distributeurs pour étendre leurs opérations de baisse des tarifs.
Cependant, les dirigeants des grandes enseignes, dont Super U, demandent une réforme législative pour une négociation plus flexible des prix. Par ailleurs, ces derniers réclament à Bercy un changement de loi qui permet de marchander l’augmentation ou la réduction. En tout cas, cette situation reste à suivre de près, car elle affectera considérablement le pouvoir d’achat des Français.