Dernièrement, des clichés de Marlène Schiappa ont créé le buzz. La secrétaire d’Etat est sortie du silence sur la polémique. On vous dit tout !
Au mois d’avril dernier, son apparition dans le magazine de charme “Playboy” avait créé le scandale au sein de l’opinion publique. Selon BFMTV, Elisabeth Borne a discuté au téléphone avec Marlène Schiappa en lui faisant savoir que cet entretien n’était pas “approprié”.
Marlène Schiappa risque-t-elle la destitution ?
Devant l’ampleur de la polémique, Marlène Schiappa a décidé de livrer ses explications sur Twitter. “Défendre le droit des femmes et leur liberté concernant leur corps. Nous sommes libres de faire ce que nous voulons, quelle que soit l’opinion des hypocrites”? précise-t-elle dans sa publication. Mais au sein du pouvoir, cette affaire est en train de susciter la panique. A cela s’ajoutent les discours polémiques récurrents qui font grand bruit au sein de la presse sur des sujets brûlants comme l’affaire du fonds Marianne.
Fondé pour lutter contre le séparatisme, cette association est aujourd’hui confrontée à la justice pour une affaire de “détournement de fonds publics” et “abus de confiance”. Davantage de faits qui font que la place de la Secrétaire d’Etat est plus que jamais en danger !
“Marlène Schiappa ne peut pas rester au gouvernement…”
Selon une source anonyme issue de l’Elysée : “Marlène Schiappa ne peut pas rester au gouvernement”. Il n’est donc question que de jours avant qu’elle ne se fasse éjecter de son trône. Toujours selon la même source, la principale intéressée aurait “aggravé son cas” en acceptant de s’exposer à la une du magazine de charme. Il semblerait néanmoins que la secrétaire d’Etat ne soit pas la seule à être sur la scelette.
Parmi les noms qui circulent figure celui du ministre déléguée chargée de l’égalité entre hommes et femmes, Isabelle Rome. A titre de rappel, cette-dernière ne s’est pas montrée très tendre avec Marlène Schiappa lors de la sortie du magazine Playboy. Dans les colonnes de Midi Libre, on apprend qu’elle aurait traité la conseillère communautaire de “sac à main de seconde main”. Encore une affaire qui risque de faire couler beaucoup d’encre !