Maeva Ghennam escroquée : son rêve de vivre définitivement à Dubaï vire au cauchemar !

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, Dubaï est devenue une destination prisée des entrepreneurs français fortunés cherchant un paradis fiscal. Parmi eux, figurent les vedettes de la téléréalité. Alors que certains s’adaptent parfaitement à la ville la plus importante des Émirats arabes unis, pour d’autres, leur expérience est loin d’être aussi idyllique qu’espérée, comme cela a été le cas pour la star des Marseillais.

Après avoir été escroquée et forcée de « payer en plus« , le rêve de Maeva Ghennam de vivre définitivement à Dubaï vire au cauchemar. Les larmes aux yeux, elle a décidé de partager cette triste histoire avec ses abonnés.

Maeva Ghennam escroquée : son rêve de vivre définitivement à Dubaï vire au cauchemar !

En effet, Maeva Ghennam a été trahie par son promoteur dans une arnaque bien ficelée à laquelle elle n’a pas vu venir. Celle qui s’est révélée au grand public dans Les Marseillais contre le Reste du Monde et Moundir et les apprentis aventuriers a pris la parole depuis sa story Snapchat pour interpeller ses followers.

« Je ne suis pas bien, je vais mourir, je suis en larmes, débutait-elle. Il m’arrive une dinguerie ! Je me suis fait voler…J’ai trop peur. Mon architecte m’aide, poursuivait-elle, affichant un visage complètement déprimé. J’espère que je vais régler ce problème, affirmait-elle, avant d’ajouter : Je vous jure, je vais faire un malaise. »

Que s’est-il réellement passé ?

Installée à bord de sa voiture, Maeva Ghennam raconte comment elle a été arnaquée en achetant sa maison à Dubaï. « Écoutez bien ce qu’il m’arrive », déclarait-elle par la suite.

« J’ai acheté une maison il y a plus d’un an. Elle n’était pas encore construite, ce n’était que des briques, racontait-elle. Je vais voir le promoteur pour lui dire que je veux acheter la maison. Il me dit : ‘Ok, mais il faut faire une avance, un déposit.’ Je lui donne 500 000 euros et il me donne le papier, détaillait-elle.

Après le versement de l’acompte, le promoteur lui donne une échéance. « Il me dit que la maison est finie dans un mois, a-t-elle poursuivi. Au bout de quatre mois, ça n’avance pas. Alors, je m’embrouille avec lui ! Il me fait galérer, puis finit la maison huit mois plus tard… »

Les choses auraient pu se terminer là. Mais le hic c’est que  » J’ai signé des papiers sans comprendre parce que je ne parle pas un mot d’anglais. Alors, je fais la pigeonne et je paye en plus ! J’ai payé la maison beaucoup plus chère que ce que je devais… , regrattait-elle. Mais c’est déjà trop tard.

En fait, « l’architecte m’apprend que le promoteur n’a pas mis les papiers à mon nom. Pour Dubaï, je suis propriétaire du terrain, mais pas de la maison ! Elle ne m’appartient pas !«