Les dangers du brandjacking : UFC-Que-Choisir lance l’alerte sur cette arnaque qui fait de plus en plus de victimes

Le brandjacking sévit de plus en plus à l’Hexagone. La réputation et la crédibilité d’une entreprise sont mises à l’épreuve. Mais les consommateurs peuvent également tomber dans le piège. Explications.

Le gouvernement travail sur un dispositif anti-arnaque

Depuis ces dernières années, de nouvelles arnaques sévissent dans toute la France. D’ailleurs, elles existent de nombreuses formes. Dans la liste, on peut citer par exemple celles aux faux livrets d’épargnes ou encore des virements ou mails frauduleux. Les escrocs mettent en place jour et nuit des procédés de plus en plus sophistiqués.

Face à cette menace, le gouvernement doit agir. Un nouveau dispositif contre les arnaques devrait voir le jour prochainement. Il s’agit d’un filtre anti-arnaque qui permet d’avertir les internautes des menaces frauduleuses.

Qu’est-ce que le brandjacking ?

Le brandjacking est un nouveau moyen des arnaqueurs pour tromper leur victime. Cette technique consiste à utiliser la notoriété et la réputation d’une marque. Ainsi, les escrocs usurpent l’identité des entreprises pour mettre en confiance leur cible.

Pour ce faire, les arnaqueurs créent un faux site web identique à un organisme, commerçant ou une marque ou une institution bancaire. Parfois, ils attisent la curiosité de nombreuses personnes en publiant de fausses offres promotionnelles. Ils utilisent également les réseaux sociaux pour envoyer de faux message.

Leurs objectifs sont de pousser les victimes à acheter un produit, de services ou de subtiliser leurs informations personnelles.

Les dangers du brandjacking : UFC-Que-Choisir lance l’alerte

Selon l’UFC-Que Choisir, le brandjacking est une pratique frauduleuse facilement réalisée par des escrocs. Ils créent des sites web qui imitent étroitement ceux d’entreprises légitimes. De surcroît, ils utilisent des mots-clés payants pour être bien référencés dans les résultats de recherche.

Cela leur permet de se faire passer pour des marques reconnues et de tromper les consommateurs. En plus des faux sites web, les escrocs utilisent également des appels téléphoniques pour piéger leurs victimes.

En cas de brandjacking, il faut agir rapidement pour réduire les dommages. Le mieux est de contacter immédiatement la marque concernée, la banque ou les organismes impliqués pour les informer de la situation. Si nécessaire, il est conseillé de déposer une plainte auprès des autorités compétentes.