Le calendrier scolaire 2024 vivement décrié, découvrez pourquoi il provoque autant la révolte des parents et élèves !
Le calendrier scolaire 2024 décrié, il provoque la révolte des parents et élèves !
En effet, il est fort probable que la rentrée scolaire soit décalée, ce qui perturberait considérablement tout le calendrier scolaire 2024. Sans compter l’impact que cela peut avoir sur l’organisation des parents qui planifient leurs vacances et leurs congés.
Les parents et les élèves ne sont pas les seuls mécontents de cette décision, car ni la maire de Paris Anne Hidalgo ni le ministre de l’Education nationale Pap Ndiaye ne sont favorables à un report de la rentrée.
C’est au Conseil supérieur de l’Education de rendre un avis, prévu pour ce mercredi dernier.
Selon franceinfo, cet avis souligne clairement, selon l’entourage du ministre de l’Éducation, que les recteurs d’académie seront autorisés à reporter la rentrée « uniquement pour les établissements situés à proximité des installations olympiques, et si cela s’avère nécessaire ».
Cette décision est notamment motivée par la tenue des Jeux paralympiques sur plusieurs sites en Ile-de-France s’étalant sur la semaine du mercredi 28 août au dimanche 8 septembre 2024, chevauchant ainsi la période entre la fin des vacances d’été et la rentrée scolaire prévue le lundi 2 septembre 2024.
Conséquence : La rentrée des classes pourrait alors être décalée de quelques jours dans plusieurs établissements scolaires franciliens.
Les « petites vacances » risquent d’être écourtées.
La raison ? C’est parce que pendant une semaine, une situation particulière se présentera avec des millions d’élèves utilisant les transports en commun en même temps, précise France Bleu, « que des centaines de milliers de spectateurs, d’athlètes, d’organisateurs et d’officiels ».
Les routes risquent d’être congestionnées en raison de voies réservées et d’épreuves se déroulant en plein cœur des villes.
Le ministère des Transports anticipe déjà des « problèmes de circulation »,
Ces préoccupations sont également partagées par Ile-de-France Mobilités, qui redoute « la saturation des transports en commun« , compte tenu de la nécessité de transporter à la fois les spectateurs et les habitants d’Île-de-France revenant de vacances.
Le hic, c’est que les « petites vacances » vont être plus courtes pour les élèves.