Cette année, la déclaration en ligne des impôts commencera officiellement à compter du 13 avril prochain. Cette obligation qui concerne tous les contribuables, y compris ceux qui travaillent à distance, donne dans certains cas lieu à des avantages fiscaux non négligeables.
Chaque année, les contribuables redoutent l’étape de déclaration des revenus liée au paiement des impôts auprès du fisc. Avec l’inflation qui touche le pays depuis plusieurs mois, on aimerait en effet limiter les dépenses autant que possible. A ce propos, certains avantages fiscaux souvent passés aux oubliettes peuvent faire la différence.
Les frais liés au travail en ligne
Depuis le confinement généré par la pandémie de Coronavirus, le télétravail a eu le vent en poupe ! Cette façon de travailler génère néanmoins des frais de tout genre exempt des impôts. Ce qui permet d’économiser jusqu’à 550 euros lors du paiement des impôts. Pour ce faire, le supérieur est tenu de remettre une prime pour les acquisitions en rapport avec les activités professionnelles à la maison.
Dans la mesure où vous avez payer ces charges de votre poche, vous pouvez les déduire des frais réels en cochant la case consacrée à cet effet lors de la déclaration en ligne de vos revenus. Selon un expert de Clim : “La majorité des contribuables préfère se tourner vers la déclaration aux frais réels car cette alternative permet d’économiser jusqu’à 432 euros”.
Les travaux de réhabilitation
Interrogé par nos confrères, Aldric Emié, membre de la société Clim indique que la plupart des Français ne connaissent pas ou peu les informations liées aux finances et à l’imposition. Les travaux de réhabilitation peuvent par exemple donner droit à des avantages fiscaux non négligeables. Ce qui a pour effet de réduire la note lors du règlement des impots. Le gouvernement propose en effet, divers crédits d’impôts dont la valeur permet de couvrir jusqu’à 30% des dépenses. Pourles propriétaires de résidence principale par exemple, les travaux liés à la rénovation des chaudières peuvent atteindre 375 millions d’euros.