Les temps sont durs pour Stéphane Bern ! Submergé par une montagne de dettes, l’animateur se retrouve dans l’obligation de se séparer de sa maison en Grèce. On vous dit tout !
En faisant l’acquisition du collège Royal de Thiron-Gardais, considéré comme un monument historique, Stéphane Bern pensait bien faire ! Malheureusement pour lui, les travaux ont nécessité des dépenses colossales si bien que l’animateur a du mal aujourd’hui à éponger ses dettes.
4 millions d’euros de dettes à rembourser sur 25 ans
Stéphane Bern s’est fait connaître du public en présentant diverses émissions dont Secrets d’histoires. Depuis une dizaine d’années, il est à la tête d’un monument historique situé en Grèce et d’un autre appartement situé au coeur de la capitale française. Dans les colonnes du Parisien, l’animateur de 59 ans, qui habite désormais dans le Perche a fait savoir qu’il avait du vendre sa propriété en Grèce.
En effet, le spécialiste des têtes couronnées a une montagne de dettes à régler en raison des travaux de réhabilitation de ce monument historique. A ce propos, le principal intéressé explique : “Je l’ai acheté dans un piètre état à 300 000 euros. Au départ, on m’avait dit qu’il fallait entre 150 000 à 200 000 euros de budget pour la rénover…Aujourd’hui, je me retrouve avec 4 000 000 d’euros à rembourser sur 25 ans. J’ai dit non à toutes les aides publiques (…)”.
Stéphane Bern prend une décision radicale
Malgré ces déboires financiers, Stéphane Bern renonce à ce qu’on le qualifie de “fauché”. Comme il le souligne : “Je ne suis pas ruiné. Je ne suis pas en difficulté financière mais je dois tout de même surveiller mes dépenses. Je suis contraint de travailler à mon âge pour éponger mes dettes…Je dois apprendre à rationaliser mon patrimoine. C’est pour cette raison que j’ai pris la décision de céder Paros”.
Dans sa prise de parole, le principal intéressé souligne que son partenaire n’aura jamais droit à cette propriété dans la mesure où il venait à décéder. “Jamais ce domaine ne tombera dans les mains d’un particulier après ma mort”, a-t-il conclu dans les colonnes du Parisien. Voilà qui a le mérite d’être clair !