La crise énergétique a conduit au gouvernement à mettre en place le dispositif chèque énergie. Il permet de financer les Français qui prévoient de faire des travaux énergétiques. Elle sert également à payer les factures d’électricité ou à acheter des combustibles comme le bois, le fioul, etc.
Des aides indispensables pour les foyers modestes
Les foyers français à revenu modeste peuvent bénéficier d’une gamme d’aides gouvernementales. Les plus connues sont les allocations familiales, l’aide au logement, et l’allocation de rentrée scolaire et tant d’autres encore. De plus, des aides populaires telles que le RSA et la prime d’activité sont également disponibles. Le montant de ce dernier coup de pouce est fixé à 598 euros,
En outre, il y a le chèque énergie. Cette aide permet aux ménages de réduire leurs factures énergétiques ou de financer des travaux de rénovation. Cependant, des rumeurs révèlent la suppression de cette aide.
La fin du chèque énergie
Gabriel Attal, ministre délégué chargé des Comptes publics, a annoncé la fin de la politique des chèques exceptionnels en France. Une annonce qui a suscité les inquiétudes sur l’avenir du chèque énergie. Plus de 5 millions de foyers bénéficiaires s’interrogent donc si cette aide serait belle est bien supprimée.
Cette décision vise à économiser de l’argent en mettant fin à des dispositifs spécifiques créés en réponse à des crises passées. Cela pourrait également signifier la fin du bouclier tarifaire. Par ailleurs, le ministre n’a pas apporté plus de précision à ce sujet durant son discours. Par contre, il a tenu à rassurer les citoyens, bien que le ministère des Finances ait apporté des nuances à cette annonce.
La précision du ministère de l’Économie et des Finances
Le ministère de l’Économie et des Finances a clarifié les propos de Gabriel Attal. Apparemment, il ne parlait que des chèques exceptionnels et non du chèque énergie dans son ensemble. Les chèques exceptionnels sont des réductions ponctuelles ajoutées aux chèques énergie réguliers pour aider les personnes défavorisées.
Donc, près de 6 millions de ménages modestes continueront à recevoir leurs aides. Cela malgré une hausse significative des tarifs réglementés de l’électricité en août. Notons d’ailleurs qu’une augmentation historique a été observée après deux hausses consécutives de 4 % en 2022 et de 15 % en début d’année 2023.