De récentes révélations indiquent que plusieurs milliers de scooters éléctriques dont la batterie n’est plus fonctionnelle s’entasseraient aujourd’hui au fond d’une décharge.
Avec l’essor des voitures électriques et l’impossiblité de recycler certaines matières à l’instar des batteries, les scooters dont les batteries sont à plat ne servent plus aujourd’hui à grand chose. Résultat, ils finissent dans des décharges à ciel ouvert.
Une vidéo qui est vite devenue virale
Une récente publication montrant un cimetière de scooters électriques a récemment créé le buzz sur Twitter. Selon ce post, changer les batteries à plat couteraient une fortune aux propriétaires. Raison pour laquelle ils préfèrent se débarrasser de leurs deux-roues. Dans ce tweet, on retrouve ainsi des milliers de scooters abandonnés dans des décharges. La vidéo est également disponible sur TikTok et sur YouTube.
Du reste, on connaît peu de choses concernant la vidéo (lieu de tournage, date de diffusion). Néanmoins, certains détails en disent long. On remarque par exemple que les scooters électriques sont tous pareils. Ce qui fait allusion à un libre service. De plus, ces deux-roues n’ont rien à voir avec celles qui circulent dans l’Hexagone. Enfin, on retrouve des inscriptions en langue chinoise au niveau de leur flanc droit.
Sur le site russe Yandex, cette vidéo a fait réagir plus d’un million d’internautes. Ces derniers évoquent un “cimetière de trotinettes électriques” basé en Chine. Notons que dans cette partie du globe, ce genre de fléau est courant et il concerne à la fois les bicyclettes et les scooters électriques.
Une décharge de scooters électriques située en Chine ?
Il y a un an environ, des clichés similaires avaitent été diffusés. A l’époque, il s’agissait de cimetière de motos implantée dans la région du Henan et qui sont fabriquées par la société Qibu. Quelques mois plus tard, la presse chinoise a fait part du même phénomène dans les environ de la ville de Shantou où des employés abandonnent des motos aayant fait l’objet d’un retrait du marché. Cette fois, les engins ont été fabriqués par les marques Meituan et Oindiu. Un gaspillage qui a de quoi peiner les militants écologistes…